Certains disent qu’il portait un autre nom à l’origine mais qu’après une rafale de Transe les lettres sont tombées et un petit farceur les a mélangées avant de les replacer au dessus de la porte. Mais ça, c’est la légende.
Dés le seuil franchi, vous entrez dans le coeur du sujet, des odeurs connues mais que l’on redécouvre car éclairées par de puissants miroirs. Mon parfum préféré « regard dans les yeux », je le caresse, je le hume, je le savoure, je … Viennent ensuite au fil des rayons des odeurs de tout ordre, de toutes puissances. Une invitation à l’exploration. Un hameçon qui se fixe dans notre ventre et nous entraine dans tous les recoins, nous attardant sur « contact d’index », « coeur à coeur », et bien d’autres encore.
Un grand espace est réservé aux mots et contextes. Les assimilants à des définitions, des circonvolutions, des grattements de tête. Les pressants d’exprimer leur saveur, leur puissance. Et nous laissant, au bout de la travée avec des Pfiou, des Haaaa qui parfois les résument à merveille.
Des mouvements débordent des malles et autres caisses posées le long des étals que le propriétaire des lieux appelle exercices. Ça rythme, ça fluide, ça coordonne, ça synchronise dans une apothéose eutonique.
Des guirlandes de musiques pendent au plafond, vibrantes, puissantes, délicates. Toutes en subtilité et élan vital. 

No translation yet